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27 juin 2014 5 27 /06 /juin /2014 19:05

Ils ne se feront plus compter des histoires à dormir debout, eux ces les Valentin Aditi HOUDE, Justin  AGBODJETE, Barnabé Zinsou DASSIGLI, Octave C. HOUDEGBE, Nazaire N’Déhouénou DOSSA, Moussa AMADE, Valentin SOMASSE, Venance GNIGLA, Romaric VYAHO,  Boniface E. CHRYSOSTOME, Célestine ADJANOHOUN, Dominique ATCHAWE, Cyriaque DOMINGO, Fabien HODE, Gérard HOUNGBE, Jean Kévi KAKPO, Gilles LALY, Julien HONFO, Léon AGANON, Jean-Marie  HOUESSOU ; lors de leur historique Congrès du 31 mai 2014, qui a consacré la grande Alliance AND (ALLIANCE NATIONALE POUR LA DEMOCRATIE ET LE DEVELOPPEMENT), ils ont signé un protocole d’accord qui est déjà en vigueur. A en croire le président de cette Alliance, l’honorable Valentin Aditi  HOUDE,  « AND se présentera dans toutes les joutes électorales à venir, à savoir les communales, les législatives et la fatidique bataille de mars 2016 ». Leur leitmotiv est de conquérir et de gérer ensemble le pouvoir d’Etat dans le respect de l’intérêt général.

Par Joachim Bogan

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 09:54

Les  membres de la communauté de la basse vallée de l’Ouémé (cbvo) se sont rencontrés, dans l’après midi de ce vendredi 28 février 2014, au siège de leur structure à Dangbo, dans le cadre de leur réunion statutaire. Les débats au cours de cette première rencontre de l’année, ont été consacrés à la situation des deux agents recrutés par la cbvo, (le secrétaire permanent  et le technicien en génie civile, tous deux  restés sans salaire depuis 16 mois). Il faut dire qu’après sa naissance, et faute de moyens financiers,  la CBVO bat  de  l’aille avec une profonde difficulté à pouvoir se réunir et marquer sa présence sur le terrain à travers des activités concrètes. Conséquence, elle est méconnue des populations. Dans l’opinion publique, la divergence politique des maires membres de la CBVO est citée comme l'un des facteurs à l'origine de cette situation de léthargie à la quelle la structure s’est vue confrontée. Pour faire un peu la lumière sur ce qui bloque le bon fonctionnement de la communauté de la basse vallée de l’ouémé, regroupant les communes de Bonou, Aguégués, Adjohoun, Dangbo, et Sô-Ava, nous avons rencontré, à l’issue de cette séance, le Maire de la commune de Sô-Ava, Joseph ONITCHANGO,  président en exercice de la CBVO, pour un court entretien dont nous vous proposons la substance :

 


Les Echos de la vallée: Mr le Président en exercice de la communauté de la basse vallée de l’Ouémé, que peut- on retenir de la séance que vous venez de tenir ici au siège de la structure à Dangbo?

Maire Joseph Onitchango: C’est une réunion statutaire, vous avez vu les maires de Dangbo, des Aguégués, de Bonou, d’Adjohoun, de Sô-Ava. Etant le président en exercice, nous sommes venu présider à la destinée de la communauté, nous nous sommes engagés à prendre les taureaux par les cornes, parce qu’il semble que ça dort. Si ça dort, c’est le non paiement des salaires au secrétaire permanent et son technicien. C’est ce qu’on est venu régler, donc, nous allons envoyer de lettres en direction de toutes les communes membres de la CBVO pour que chaque commune envoie  ses  participations, les cotisations pour nous permettre de payer les salaires de ces deux agents que nous avons librement recrutés. Voilà de quoi nous avons débattu.

Mais est-ce que c’est cela qui justifie aussi l’état d’abandon des réunions qui, statutairement sont programmées mensuellement ?

Le constat est que beaucoup de maires n’ont pas le temps pour participer aux réunions. C’est pourquoi, nous avons changé beaucoup de choses maintenant. C’est les communes qui sont membres de la CBVO, donc au vu de cela,  et  pour dynamiser les choses, nous avons pris les premiers adjoints des maires, qui désormais  remplacent les maires à participer aux réunions. Cela est nécessaire  pour pouvoir accompagner le développement des communautés, car si nous ne faisons rien, la CBVO va dormir.

Quelle est la mission de la CBVO ?

La mission de la CBVO, c’est de dire aux populations des communes concernées que nous devons travailler pour sortir de l’ornière, le travail étant libérateur. Mais, aussi, faut-il noter que si nous n’avons pas l’accompagnement des partenaires, ça ne peut pas donner grand-chose. Nous devons nous développer à base de l’agriculture. A la CBVO, nous ne parlons pas de la politique.

En 2014 que peuvent attendre les populations de la CBVO ?

Nous avons déjà un siège que vous voyez ici dans l’enceinte de la mairie de Dangbo. En 2014, nous devons lutter pour que la production maraîchère soit mieux développée, puisque la grande vallée de l’ouémé est la deuxième en termes de potentialités après le Nil. Il nous faut dynamiser l’agriculture, il faut que les populations prennent leur destinée en main pour que les produits sortent de la terre.

Beaucoup citent la divergence politique des maires, membres de la CBVO comme l’un des freins au rayonnement de cette intercommunalité. C’est aussi votre avis ?

Loin de là. Ça, c’est une aberration, et cela ne regarde que ceux qui pensent ainsi. Nous sommes tous frères. Dangbo est de l’opposition, moi je suis de la mouvance, mais ça n’a jamais arrêté nos rencontres. Le maire des aguégués est de l’opposition, Adjohoun de la mouvance, mais ça ne pose aucun problème à notre union et volonté commune de travailler ensemble pour développer  notre région.

Qu’est ce qui explique le grand retard qu’accuse l’inauguration du siège de la CBVO, cette belle infrastructure réalisée par les partenaires?

Vous savez, c’est un problème de fonds. Ce n’est pas l’argent hein. Les secrétaires recrutés sont sans salaire. Quelqu’un qui travaille et qui n’a pas de salaire à la fin du mois, comment peut-il régler le quotidien, payer le loyer et autres ? C’est un gros problème. Mais, tenez-vous tranquille. Nous venons de trouver une solution à ce problème.

Quand on sait déjà que dans nos différentes communes, le budget  ne permet pas  aux maires de sortir la tête de l’eau, comment pensez-vous faire ? Les maires sortiront-ils l’argent de leur poche pour faire fonctionner la CBVO ?

Non. La CBVO, c’est notre affaire à nous tous. C’est nous-mêmes qui l’avons initiée. Nous devons nous battre pour que cela marche. Et nous pouvons aussi chercher des partenaires pour nous nous aider.

Dites-nous, Mr le Président, c’est quand l’inauguration de votre bâtiment ?

Nous allons inaugurer cela en Avril prochain. On en a discuté.

Un appel pour clore cet entretien.

Chers frères et amis de la vallée de l’ouémé, prenons notre destinée en main, pour que vive la CBVO et qu’elle nous apporte le bonheur.

Mr le Maire merci et bon vent à la cbvo

C’est nous qui vous remercions.

Réalisation : René KPANOUKPE

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 16:46

Le député Eric Houndété, président du groupe parlementaire « Union fait la Nation » accuse  le gouvernement de violer l’article 147 de la Constitution pour n’avoir pas mis en application les dispositions de ladite loi. Le jeudi 14 novembre 2013, devant la Presse parlementaire, le député Eric Houndeté a sévèrement critiqué le gouvernement qui a rendu publique un communiqué signé de son Secrétaire Général, le 12 Novembre 2013 ; lequel communiqué prend le contre pied de ses déclarations quelques jours plus tôt. Au total le député persiste et signe que c’est le gouvernement qui fait de la diversion.

La Rédaction

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 10:07

Bataille autour de la 2è questure de l’Assemblée

Challenge entre Houdé et Hougnibo ce jour

-          Yayi Boni fait durer le suspens

Le deuxième point inscrit  à la plénière du vendredi dernier, relatif à la désignation des remplaçants des députés Françoise Assoggba, précédemment 2è questeur de l’Assemblée Nationale, Isidore Gnonlonfoun, à la commission des relations extérieures, de la coopération au développement, de la défense et de la sécurité, ainsi qu’au parlement panafricain, n’a pu être évacué et pour cause, la séance a été suspendue jusqu’à ce jour.

Par Martin AÏHONNOU

Deux candidats de la même famille politique, la mouvance présidentielle, vont « se batailler » ce jour à l’hémicycle pour gagner le poste du 2è questeur resté vacant depuis l’entrée au gouvernement de l’honorable Françoise Assogba. Les deux chalengers cherche à occuper coûte que coûte ce poste au sein du Parlement. A en croire les sources le député Lucien Houngnibo, élu dans la même circonscription électorale que l’honorable Valentin Houdé serait rentrer en compétition parce qu’il aurait eu le soutien du chef de l’Etat, et donc les pronostics du vote était en sa faveur. Du coup, l’ordre aurait été donné à l’honorable Houdé de désister en faveur de son collègue qui est d’ailleurs, à en croire les sources son oncle maternelle. Ayant eu vent de cette manœuvre, les autres députés FCBE présents au Parlement ont fustigé la procédure et ont décidé de se ranger du côté de l’opposition pour  soutenir la candidature du député Valentin Houdé, .  Alors les positions des uns et des autres renforce le challenge ; et le candidat Houdé refuse de désister. Pour mettre en veilleuse, l’élection, et pour essayer de clarifier la situation, le député Sabi Moussa se fonde sur le règlement intérieur pour demander une suspension express de la séance jusqu’à ce jour. Ce que tente de comprendre ses collègues qui ont voulu l’en dissuader, mais en vain. Finalement Nago joue les sapeurs pompiers et un consensus a été trouvé, avec la présentation du rapport par la commission des lois. C’est vers la fin de la séance qu’on apprend avec surprise que depuis le Palais de la présidence, Yayi Boni a appelé pour faire reporter l’élection. Une atittude dénoncée par le député Fikara, qui demande à Nago, d’écrire au gouvernement pour lui dire que l’Assemblée Nationale ne saurait être à ses bottes. « Dites au gouvernement ou envoyez une correspondance en bonne et due forme, pour que l’Assemblée n’est un essuie du gouvernement ». En réplique à Fikara, Chabi Sika dit crie à l’intoxication et demande à Nago de suspendre la séance sinon il aura à répondre à beaucoup d’intoxication. Ce jour que va-t-il se passer qui va lâcher du laisse, Houdé ou Houngnibo ? Wait and see !

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 09:52

A la faveur d’une plénière qui a lieu le lundi 23 septembre 2013,  le président Mathurin Coffi Nago a présenté à ses collègues les trois députés suppléants qui sont devenus députés de pleins droits.

Par Martin AÏHONNOU

Ils ont noms Fagnon Célestin Goutolou, transitaire de son état, il occupait précédemment, le poste de premier adjoint au Maire de Ouinhi ; bombardé suppléant du député Aké Natondé, dans la 24è circonscription électorale, il est devenu  député de la 6è législature depuis le lundi dernier, en remplacement de l’honorable Aké parti siégé au gouvernement. Mensah Evariste Sinkpota, lui acquiert le titre de député en remplacement de la désormais ministre Françoise Assogba, précédemment 2è questeur de l’Assemblée Nationale. Christophe Houssou  a siégé en lieu et place de l’honorable Isidore Gnonlonfoun. Plusieurs parents et amis avaient accompagné les heureux du jour.

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  • : Le blog des infos croustillantes venant de la vallée de l'Ouémé, la plus riche après le #Nil; l'actualité, les analyses et les dernières infos de l'#Assemblée #Nationale du #Bénin sont au rendez-vous. La rubrique #Pardon s'il vous plaît met l'humour au service de l'information. Dans son nouveau menu #Portrait, vous garderez de nos personnalités des souvenirs. Restez collés à nous pour l'aventure.
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