Lentement mais sûrement, l’insécurité semble se faire de l’espace dans notre pays.Dans la Commune de Bonou, un jeune homme vient d’être froidement abattu à Agbomanhan, faisant suite à un autre cas similaire à IKPINLE.
Par René KPANOUKPE
Les Communes de Bonou et d’Adja-Ouèrè ont été le théâtre de deux faits à la limite macabres. A Bonou, le corps d’un homme âgé de 25 ans environ a été retrouvé dans la palmeraie du village AGBOMAHAN, Arrondissement d’Atchonsa. La victime a été froidement abattu par ses ravisseurs qui ont tiré sur lui à bout portant. Informée, une équipe avec à sa tête l’Adjudant Gilles Roch GANGNAZO, Commandant de Brigade de Gendarmerie de Bonou et le Medecin-Chef du Centre Communal de Santé de Bonou Dr. Eric DOHOU s’est dépêchée sur les lieux du drame pour les constats d’usage. De sources policières, les enquêtes sont en cours pour dénicher les malfrats. Il faut dire que faute de renseignements sur l’identité de la victime ni de ses parents, qui apparemment ne seraient pas originaires de la localité le corps de la victime a été déposé à la Morgue de SAKETE. Vivement que les parents de la victime se manifestent pour le retrait du corps. Mais aussi curieux que cela puisse paraître le même drame est perpétré le dimanche 24 Octobre dernier à Ikpinlè Commune d’Adja-Ouèrè dans des conditions identiques. Une situation qui jette davantage de la psychose au sein des populations de l’Ouémé/Plateau qui viennent de déplorer deux cas de grands banditismes en deux semaines.